Anton Brender est professeur associé à l’université Paris-Dauphine. Il a publié dans la collection « Repères »La France face aux marchés financiers (2004) et La France face à la mondialisation (4eéd., 2004). Économiste chez Candriam Investors Group, il a également publié avec Florence Pisani, chez Economica, Les Marchés de la croissance (2001) et La Nouvelle Économie américaine (2004) ; enfin, dans la collection « Repères », Les Déséquilibres financiers internationaux (2007), La crise de la finance globalisée (2009), La crise des dettes souveraines (nouvelle éd., 2013), Monnaie, finance et économie réelle (2015), L’Économie américaine (2018) et Capitalisme et progrès social (2020).
2020-02-04 - Jean-Marc Vittori - Les Echos
Dans son dernier livre, Anton Brender, chef économiste chez Candriam, fait un double constat : d’une part, le capitalisme ne se régule pas de lui-même ; d’autre part, cette régulation a précisément été jusqu’ici assurée par nos social-démocraties, qui ont rendu possible un progrès social. Or, ce progrès social semble désormais en panne ou en régression au sein de nos sociétés. Comment revitaliser ce projet ?
2020-02-16 - Simon Brunfaut - L'Echo
Membre du Cercle des économistes et professeur associé à l’université Paris-Dauphine, Anton Brender publie aux éditions La Découverte, dans la collection « Repères », une étude compendieuse sur les liens, évolutifs, entre le capitalisme et le progrès social. [...] Dans [cet] ouvrage concis mais nécessaire, Anton Brender développe patiemment cette assertion, en s’appuyant sur l’histoire économique des XXe et XXIe siècles. L’économiste français ne voit, par essence, aucune incompatibilité entre le capitalisme et le progrès social, mais explique toutefois comment le « laisser-faire » observé dès les années 1970 a mis à mal les économies occidentales.
2020-02-17 - Jonathan Fanara - Le Mag du ciné
À la différence d'autres théoriciens des inégalités très en vogue actuellement, il n'en attribue pas la responsabilité au capitalisme, mais à une forme particulière de ce dernier, le néolibéralisme, et surtout à la passivité des Etats face à la vague de la mondialisation. La perte de souveraineté fiscale face à la libération des capitaux est un exemple frappant de cette dérive. Publié dans la collection Repères, le livre est abordable dans tous les sens du terme.
2020-03-05 - P.-H. M. - Challenges
Alors que les inégalités se creusent à travers le monde et que les défis environnementaux se multiplient, le capitalisme n'est-il pas arrivé à bout de souffle ? Ne faut-il pas le modifier en profondeur ? [...] Le propos de Capitalisme et progrès social est de replacer ce vaste débat dans une perspective historique et macroéconomique, le tout avec la clarté pédagogique qui caractérise les précédents ouvrages d'Anton Brender, parus dans le petit format « Repères » de La Découverte, certains publiés avec sa collègue de Candriam, Florence Pisani.
2020-03-09 - Fabrice Nodé-Langlois - Le Figaro